Il aura donc fallu huit mois au gouvernement pour trouver un remplaçant à M. Astruc pour diriger l’Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire. Huit mois qui auront eu raison de la patience de Thierry Alves, directeur des Baumettes, parti sous d’autres cieux alors qu’il avait reçu le soutien de la totalité des élus du personnel en commission administrative paritaire des directeurs des services pénitentiaires au début de l’été. Huit mois qui illustrent la considération que nos dirigeants nous portent.
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